A mon tour de parloter de mon petit projet qui n'a cependant pas de grosses prétentions
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Legion: Il s'agit à l'origine d'un projet de thriller amateur et gratuit. J'ai décidé, en parallèle, d'en faire un petit Point&Click. "Petit" car il ne sera retranscrit que les grandes lignes du projet littéraire dans le jeu. Il est à noter qu'autant l'histoire que le Point&Click possèdent un scenario très noir et sans concession concernant les scènes difficiles, dramatiques etc... dans les limites de mes compétences artistiques d'autodidacte
Le Point&Click n'en est qu'à ses débuts et l'avancement risque d'être lent, en prenant en compte que j'écris le projet littéraire, quand je sens la lassitude venir j'en profite pour faire le jeu (ça permet de changer d'air et ainsi de ne pas oublier Legion par simple fait de lassitude). J'en suis actuellement qu'au rendu papier (dessin des protagonistes, premiers décors + retranscription de tout cela sur ordinateur pour retouche graphique à la tablette), à l'organisation des passages scenaristiques, et au choix du thème sonore, bref y a du boulot.
Avant d'écrire ce post j'ai étudié tout les tutoriels du programme AGS, pour éviter de me lancer à corps perdu dans ce petit projet parallèle sans avoir connaissance de cause du travail qui m'attend
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Ci dessous deux petits descriptifs des personnages centraux:
Le zentil et le missant:
Michelle LANECS: Depuis deux ans qu'elle est dans la gendarmerie, l'étripeur est la pire affaire dans laquelle elle enquête activement. Michelle est une "gendarmette" comme les autres. Son existence va pourtant prendre un dramatique tournant lorsqu'elle sera elle-même recherchée par ses collègues. La raison: Elle est suspectée d'être l'étripeur. Dans la panique la plus totale elle décide de se rendre chez elle discrètement le soir pour tenter de faire le point sur la situation... et surtout de comprendre.
L'étripeur: Depuis trois mois des gens sont retrouvés gisant au sol dans les ruelles de la ville. Les cadavres ont le ventre ouvert; parfois démembrés souvent violés. Malgré la recherche active de la police et de la gendarmerie le meurtrier rôde toujours et le nombre de victime augmente de semaine en semaine. Le dernier cadavre retrouvé éventré est celui d'un enfant. Le meurtrier reçut deux noms. Le premier fut celui du "Sans-nom", mais lorsque les autorités comprirent que sa signature était l'horrible mutilation des corps l'assassin hérita du surnom de l'étripeur.
-postface-
Bref, voilà quelques petits indices sur le "pourquoi du comment" l'histoire débute et se déroulera. Il est à noter que, concernant le contenu créé, tout sera utilisable sous license CommonCreation. Les thèmes sonores sont sous la même license, ce qui permet une utilisation gratuite non commerciale sous conditions.