Les aventures du petit Billy et de La Mort

Hello,

la dernière fois, j'ai posté un truc que j'avais écris quand je m'emmerdais. Or, il semblerait que Crazy Legs ait aimé, je poste donc la suite.
( le début est inclut)

PS: A la prochaine mise à jour de l'histoire, ce sera un lien vers fichier PDF, sinon ça fait un message trop long.



Approfondissons maintenant le sujet, quand la mort s'approcha du petit Billy, elle lui dit:
« -Alors mon petit? Tu veux venir prendre le thé chez moi, »
Le Petit Billy, malin comme un yaourt, répondit:
« -Non, car je n'ai pas soif. »
La Mort, dérangée que son plan n'ait pas fonctionné, change de méthode:
« -ça te dirais que l'on aille cueillir des fleurs roses dans les prés?
-Ho oui, je veux bien! »
Dit il enthousiasmé à l'idée d'aller cueillir de magnifiques fleurs dans les près. La Mort et lui trottinèrent gaiement dans les près, à la recherche de fleurs, mais qu'elle ne fut pas leur déception quand ils remarquèrent qu'il n'y avait aucune fleur. Le petit billy demanda:
« -Mais où sont les magnifiques fleurs qui étaient dans les près? »
La Mort dit:
« -Je ne sais pas... Mais je pense que c'est...
-Une tomate? Un Potiron? De la betterave? Une bicyclette? Un avion? Un rhododendron? Ou... Non?
-Si...
-Les pétunias?
-J'en ai bien peur.
Répondit La mort inquiète. Pour remonter le moral, elle proposa:
« -ça te dirais d'aller tuer des gens?
-Ho! Quelle chouette idée!
-Alors partons, je connais une vieille qui à un stock de gâteaux, si on fait notre petit affaire, à nous le butin. »
Et ils partirent en direction de la maison de Me.Migo. Cette dernière, une fois morte après ses terribles lamentations, rejoignit le Paradis afin d'organiser une « Pâquerette party ». Mais ceci est une autre histoire, reprenons. Le petit Billy et la Mort, après avoir mangé les délicieux gâteaux, décidèrent de partir jouer au golf. Hélas, la mère de Billy qui était sur le bol, au dessus de la tête du cactus équilibriste qui dansait du country sur un poutre rongé par les mites ; les appela :
« -Chéri, j’ai soif. »
Le petit Billy, fidèle enfant, partit aider sa mère à hydrater sa peau, grâce aux vertus hydratantes et relaxantes de la nouvelle crème de jour « Jouvencie ». Il lança le tube sur le cactus en équilibre, le malheureux reçu le tube en plein dans les épines, ce qui le fit tomber, alertant ainsi un collecteur des impôts qui cherchait une personne à qui pourrir la vie.
Le Petit Billy et La Mort partirent donc jouer au golf. Ils arrivèrent dans un grand terrain, au gazon tendre, a la couleur éclatante comme aux premiers jours, à l’odeur fraiche et subtile, au toucher si… Bon, les descriptions parlent d’elles mêmes, c’est un bon terrain. La Mort plaça sa balle, et s’assit. Elle dit :
« -J’attend, j’ai tout mon temps… »
La balle ne répondit mot. Billy observa pendant ce temps, un papillon à l’agonie.
La Mort dit :
« -J’ai même plus que du temps, j’ai l’éternité… »
La balle ne bougea point. Billy arriva avec un petit cake aux feuilles de milkshake, il tendit une part à La Mort, elle dit :
« -Volontiers. Un peu de thé ?
-Je veux bien… »
La Mort sortit de sa manche deux tasses et coupoles assorties, elles étaient noires, avec des gravures blanches sur les bords. La Mort proposa :
« - Un peu de sucre ?
-Non je suis hypocondriaque…
-Ou un nuage de lait…
-Je suis fils unique…
-Je comprends parfaitement. Connaissez-vous Bernadette ?
-Entièrement d’accord, les bonbons devraient faire plus attention…
- A qui le dites-vous… J’ai moi aussi eu des liaisons amoureuses avec une pastèque, ça fait mal au début, mais quand ça part, on respire.
-Moi, je fais le glaçage autrement, je prends une demi-douzaine d’huitres, et je les vends au plus offrants.
-moi aussi quand j’étais jeune, j’étais une fille fragile, et naïve… Je ne pensais pas que… On me trahirait de cette façon. »

Soudain, un cri perçant se fit entendre, c’était la balle. La pauvre était torturée depuis 2 minutes, par une conversation inintéressante, et faites par deux commères.
« -Bon, vous m’observez partir ou sinon je reste !
-Voila qu’elle nous fait une crise existentielle. »
Dit Le Petit Billy. La Mort la regarda d’un orbite menaçant et, reprit déclara d’un air de personne pensant trouver un sujet excessivement intéressant:
« -Ne trouvez vous pas le temps charmant Miranda ? »
Le canard Miranda apparut, et se joignit à la conversation. Il déclara :
« -J’aime les confitures aux myrtilles. »
Puis, il partit. Empreint à une grande souffrance, la balle décida d’abréger ses souffrances en sautant des 6 millimètres qu’il y avait entre elle et le gazon. La mort fut rapide et sans douleur, la toute dernière pensée qu’eut la balle fut celle-ci ;
« Comme j’aurais aimé être une… »
Malheureusement, cette ^phrase demeurera à jamais un mystère aux yeux du monde, car personne ne put deviner quelle était la fin de cette phrase. Enfin, ceci était logique, puisque tout le monde se foutait des dernières pensées d’une balle qui avait crut bon de se suicider en sautant d’une hauteur de 6millimètres. Le Petit Billy et La Mort, satisfait d’avoir remué le couteau dans la plaie à une innocente balle ; partirent s’acheter des gaufres chez le boucher. Ils prirent un tandem rouge, sur le guidon duquel étaient accrochés deux pompons roses. Ils pédalèrent allégrement, en chantant tune chanson de leur composition :
« poum poum poum !
J’ai mangé une lettre !
Pour pouvoir la consulter,
J’ai dut me scanné.

Je suis donc parti
Mais sur la route, sapristi !
J’ai rencontré le cordonnier
Qui m’a planté un bananier
Quand je suis arrivé
Je me suis fais scanné
Et de la lettre, j’ai lu
Son contenu :

Refrain :

Tais-toi, tais-toi, Marguerite !
Je survole les Hypoglymes.
Quand je chante, je pense à l’horizon
Je me dis qu’il est rond
Les pâquerettes ont eut vent
De tous tes amants
Je suis donc parti
Leur demander leur avis
S’ils avaient eut la même sensation que moi
Ils m’ont dit avec émoi
Qu’avec un rouleau PQ
Ce serait mieux
Car t’es nulle au pieu ! »

Ils venaient d’arriver devant la vitrine du boucher, des animaux étaient tués en live. La Mort dit :
« - Tu peux aller regarder si tu veux, pendant que je gare le tandem. »
Le Petit Billy, tout content de savoir qu’il allait pouvoir voir un mignon et innocent lapin, se faire tuer, défiguré, haché, infusé, tanné, parfumé, coupé, écrasé, en direct, dans une vitrine. Le Petit Billy observa, le petit lapin avait peur, peur d’aller sur le menaçant tapis roulant devant lui. Il avança, le tapis l’emmena sur 5 cm, puis, il s’arrêta. Des pinces sortirent de chaque côté du tapis. Une scie coupante sorti du dessus de la vitrine, et descendis, tournant si rapidement qu’elle semblait fixe. La roulette pénétra dans le crâne du lapin, faisant gicler du sang rouge, sur le doux pelage blanc de la bête, mais aussi sur la vitrine. Le Petit Billy dut donc reconstituer les faits, selon les gémissements de la bête :
1) Cri de douleur ; Le lapin à donc du voir une vieille femme nue.
2) Cri d’une atroce souffrance ; Cette vieille femme était sa mère.
3) Soupir de soulagement ; La vieille vient de mourir par arrêt cardiaque
4) Ronronnement ; il boit du thé avec des gentils petits animaux de la forêt.
N.B :
En réalité, Le Petit Billy à (très) mal traduit les bruits de la vitrine, pour vous cher lecteur, nous allons dévoiler les scènes que Le Petit Billy n’a pas vu.

tant de traumatismes pour le ptit Billy...j'aime!! ah oui, ca j'aime!!

Les scènes vous seront dévoilées...Prochainement

^^

Hello, voilà la suite, j'ai la flemme pour le PDF

Le premier cri était en réalité le lapin qui hurlait, car un cric venait de se loger dans sa bouche, pendant que la scie s’arrêtait de scier et sortait de sa petite boite crânienne. Le deuxième, emplit de souffrance ; était par une étrange coïncidence, réellement une vidéo de personne âgée nue, et cette dernière était sa mère. Le troisième, le lapin pousse un soupir de soulagement, car la vidéo s’arrête, soudain ; le cric s’ouvre en grand, écartant les mâchoires du lapin, le tuant. Le quatrième est ni plus ni moins que la scie qui ouvre le crâne en partant de la gauche vers la droite dudit lapin, dans un doux ronronnement d’os et de cerveau scié.

La Mort arriva, elle avait garé le tandem sur le corps, fraichement renversé, d'un petit Yorkshire prénommé "Youki". La propriétaire du dit "Youki"
avait mit fin à ses jours en devenant folle après une écoute intensive du dernier live de Celine Dion. La Mort rejoignit Le Petit Billy qui tentait toujours de deviner les mystérieux évènements qui se déroulaient derrière la vitrine. La Mort dit:
"-Allez viens, allons acheter des glaces chez le boucher."
Le Petit Billy enthousiasmé dut tirer sur deux innocentes retraitées pour pouvoir se détendre et retrouver son calme d'antan.
En entrant, ils furent accueilli par une petite musique joyeuse, annonçant des produits d'une qualité et d'une saveur inégalées, mais aussi; d'une arnaque parfaitement orchestrée grâce aux talents commerciaux du boucher.
Le comptoir était orné de plusieurs articles; d'une poupée ornée d'un pompon rose fluo à petits ressorts, d’yeux en brochettes, d'une amende préfabriquée pour votre voiture, et de la très rare carte au trésor enfoui du Baron de Téodorus Baltimore Fernandes Louis Vivannert Polonius Magnus Albert dit "Théomachinchose", ce dernier produit très rare est commercialisé en plus de 50 000 exemplaires.
La Mort s'approcha du comptoir, une musique funèbre se fit entendre, le comptoir s'entoura de givre, l'ambiance devint glaciale, l'éclairage fit en sorte de faire ressortir l'étincelant émail qui émanait des dents de La Mort.
Le boucher trembla, ses dents claquèrent sur un tempo à faire danser inlassablement deux danseurs aimant la techno. De sa bouche, sortait un air qui était si en contraste avec la froideur ambiante, que s'en était une fumée.
Il dit:
"-Que vouvouvouvou...
-Vuvuzela?"
Proposa Le Petit Billy pour abréger la conversation. Le boucher articula:
-Que voulez-vous ?
La Mort s'approcha lentement du visage du Boucher, elle articula:
"-Je viens t'emmeeener dans L'auuuuuu delà."
Le Boucher, prit d'une grande panique, eut une attaque. Il s'écroula au sol, son âme sortit de son corps. Tout ce qu’il voyait était flou ; brumeux, sauf La Mort.
La Mort dit au Petit Billy:
"- je vais m'absenter, le temps d'emmener cette âme au bureau d'administration, j'espère que ce ne sera pas une stagiaire à l'accueil, elle sont toujours très lente, et ce sont des pipelettes."
Le Petit Billy acquiesça. La Mort prit l'âme du boucher et l'emmena tout en chantant gaiement "La chanson du p'tit boucher qui passa dans le broyeur ". Le Petit Billy profita de l'absence de La Mort pour observer l'étrange pièce dans laquelle il se trouvait. Il prit la petite carte au trésor enfoui du Baron de Téodorus Baltimore [voir nom complet ci-dessus] "Théomachinchose". Il l'observa, le petit carton était rigide, mais facilement pliable; mais ça, il s'en foutait. Les dessins qui étaient sur la petite carte l’interpellaient. Il les avait déjà vus. Soudain, ce fut l'illumination, toute sa vie, il n'avait rien accomplit, mais là; il pouvait trouver le fameux trésor de Baron de Téodorus Baltimore Fernandes Louis Vivannert Polonius Magnus Albert dit "Théomachinchose". La Mort arriva, elle avait revêtu un habit moins sobre que son précédent ; une longue robe noire à cagoule; comme l’autre, mais avec un rembourrage en coton, pour le confort, mais aussi pour la petite touche de « personnalisation », qu’avait cette élégante robe à cagoule.
Le Petit Billy dit:
"- je pense que nous pouvons, poliment, dévaliser le stock de glaces du boucher, puisque; paix à son âme, il est fraichement clamsé.
-Bien entendu."
Répondit la mort, un sourire à la mâchoire.
Le Petit Billy passa par-dessus la caisse, et ouvrit le petit congélateur. Dedans, qu'elle ne fut pas leur surprise, de trouver 346 petits pin's de Bobo le clown, avec aussi un assortiment de petits sabots en simili cuir d'acajou.
La Mort prit les pins’s, et les mit dans un sac, elle retira les sabots. Le congélateur était vide, pourtant, il y avait une forme, sous l'épaisse couche de givre surgelée.
Le Petit Billy y mit une main, pour retirer l'épaisse couche, mais hélas; sa main se colla dans une forte adhérence, a la couche de givre. Il tira, et finalement, toute sa peau resta collée à l’épaisse couche de givre, et ce fut dans un immense cri de douleur et dans une giclée de sang chaud, que Le Petit Billy recula. La Mort, dans sa grande sagesse héritée grâce à une transmission aux nombreuses générations, sut ce qu’il fallait faire. Telle une chirurgienne expérimentée qui à été «qualifiée « d’expérimentée » grâce à un petit test de magazine féminin qui n’avait strictement rien avoir, elle coupa la main du Petit Billy. L’enfant se sentit mieux, La Mort moula une main articulée, qu’elle greffa à l’enfant, elle relia soigneusement chaque doigt aux connexions adéquates. L’enfant avait désormais une nouvelle main, hélas ; cette main était une sous-marque, si La Mort avait déboursé un peu plus, il aurait eu une prise pour le sens du toucher.
Mais Le Petit Billy n’en avait que faire, car désormais il pouvait retirer la couche de givre, sans sentir la morsure glacée du froid. Il retira le bloc de givre, et qu’elle ne fut pas sa surprise ; de découvrir un coffre congelé, La Mort dit :
« -Haha ! Surement la caisse, le filou cachait ses économies ! »
La Mort approcha ses mains du coffret, mais celui-ci rappela :
« -Vous ne m’avez pas encore ouvert…
-ha oui, c’est vrai, je ne peux donc pas encore m’approcher d’un air cupide et avare.
-Hélas pas encore… »
Répondit le coffret, puis il enchaîna sur une passionnante conversation sur la culture des rhododendrons en apesanteur. Ensuite, il s’endormit, La Mort profita de la fin de la conversation, pour pouvoir communiquer avec Le Petit Billy par le biais ; de la communication. Rappelons que « communiquer » est réservé a une classe sociale inférieure, à laquelle, La Mort ne doit en aucun cas s’abaisser. C'est pourquoi elle « communiqua » à l’aide du « Kit de communication pour classe sociale élevée qui ne souhaite pas s’abaisser à celui des pequenots ». N’oublions pas que cet appareil est en mesure de « communiquer » grâce à des mots, et à des phrases pré-enregistrées pour vous. Ainsi, vous pouvez « dialoguer » sans être en train de le faire réellement, ce qui, totalement absurde, inutile, et sans intérêt, et c’est pour ça que cet engin abruti à eu du succès.

La Mort « dit » :
« -Je vais tenter de *Mot inexistant dans la machine* la serrure.
-Comment ? »
Dit Le Petit Billy totalement stupide. La Mort se frappa le crâne, et sous le choc, perdu un doigt, elle le ramassa puis, essaya de trouver une phrase équivalente à l’ancienne, sans censure ou problème de vocabulaire :
« -Je vais tenter d’ouvrir ce coffret.
-Comment ? »
N.B : Cher lecteur, vous savez fort bien que Le Petit Billy est stupide et n’est pas doué de logique. Je vous prie de ne pas tenter de deviner si Le Petit Billy sous entendait par « Comment ? » en réalité une des phrases suivante :
1) Peux-tu répéter la question ?
2) Par quel moyen vas-tu l’ouvrir ?
3) Ko ment !

La dernière phrase proposée est fort peu probable car aucune personne dans le scénario s’appelant « Ko » n’ait intervenue. Donc le Petit Billy ne peut affirmer qu’elle ment.
Dernier point, certes il est fort probable que dans sa grande connerie Le Petit Billy répétait tout bêtement sa dernière phrase, car il n’avait pas saisi ce que voulait dire La Mort. Abruti comme il est, c’est sûrement ça.
Et donc, nous pouvons clore le débat sur ceci :
« Nous ne saurons jamais ce que quelqu’un veut nous faire croire ce qu’il sait ». 1

La Mort abandonna donc les tentatives, et essaya d’introduire son doigt dans la serrure. Naturellement, elle y parvint, mais à l’ouvrir ; que nenni. Elle dit, en parlant, car comme ça ce sera plus rapide, mais aussi (sans doute) plus compréhensible :
« -Bon, il va falloir un:
« Kit de crochetage de serrures de coffrets dans une glacière »2.

-Damned, mais où en trouver ?
-Il n’y à qu’un seul endroit au monde où on peut en trouver un en bon état…
L’usine de « Kit de crochetage de serrures de coffrets dans une glacière »
-Ho mon dieu !
- De quelle divinité parles-tu ?
-Comment ? »


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Références:

1

Cette très philosophique phrase n’est pas une citation, ou alors si, dans le cadre qu’elle de l’auteur lui-même. Et qu’elle est tellement stupide qu’elle n’est pas « philosophique » en « soi ».

2
Musique d’ambiance « Tatatataaaaaaaaaaaaain !» avec un air de détermination, un zoom sur le visage du personnage, pour que le spectateur puisse bien lire dans les yeux ( même si ici ce sont des orbites) la détermination du personnage, mais aussi connaître son maquillage. Avec (optionnellement) un petit éclair pour dire que non seulement il fait pas beau, mais aussi que tout cela ne sera pas « jojo »

N.B : Par « jojo » nous entendons « Joli » et donc nous entendons « Esthétiquement parlant ; moche », nous voulons donc dire par là ; « Sans facilité » Nous voulons donc dire « Compliqué », mais surtout « Faire une rime par la même occasion, et rallonger la durée de cette phrase pour expliquer l’abréviation de « jojo » qui est la réduction de « Tout cela n’annonce rien de bien joli » ». Voilà tout.

P.S : Par « Voilà tout » j’entends bien « On arrête, en espérant ne pas tomber sur une nouvelle tentative de définition pour expliquer ce que je voulais dire par « Voilà tout » ».


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N.B : Sans vouloir pour autant relancer le débat qui est (selon moi) chiant, il semblerait donc que c’était bien ceci :
« Dans son infinie connerie, Le Petit Billy n’ayant rien comprit répondit « Comment ? » avec un air aussi niais et mignon que possible »

A suivre ...
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Par « Mignon » je ne parle pas de ces gosses qui veulent se rendre l’air sage, poli, mais qui sont en réalité totalement idiots et pas du tout sages et polis, car seule une pierre peut l’être. Mais d’un gosse qui essaie d’avoir l’air sage, poli, mais qui a surtout l’air idiot, comme tous les enfants de son âge, car il n’a pas réussi, et que c’est dans sa nature d’être idiot.