Top 10 des jeux qui vous ont le plus marqué

Je n'ai jamais été un grand fan de notes où de classements, bien artificiels pour juger et comparer des choses qui ne se ressemblent pas... il n'empêche que c'est parfois tentant de proposer son propre classement

Et comme j'avais envie de me plier à l'exercice, je me suis dit que c'était le bon endroit pour le faire, et une bonne manière de comparer nos sensibilités, s'interroger sur nos goûts, et peut-être découvrir des choses. Évidemment, aucun classement ne sera jamais satisfaisant, y compris pour celui qui le propose. Je ne saurais donc que vous conseiller de laisser parler votre cœur et d'y aller plus ou moins en suivant votre instinct du moment. Peut-être que demain vous aurez déjà changé d'avis sur les jeux choisis où l'ordre proposé, mais peu importe, si vous avez choisi sur le moment de mettre tel jeu à telle place à un instant T, c'est sûrement qu'il y avait une raison, et c'est cette raison qui m'intéresse.

Il n'y a pas de règles prédéfinies : j'ai mis "Top 10" mais vous pouvez très bien faire un top 3 ou un top 20 selon votre envie, votre motivation, votre inspiration. J'ai mis délibérément "les jeux qui nous ont le plus marqué" plutôt que "nos jeux préférés" car il me semble plus facile d'identifier les jeux qui nous ont marqué, même si ceux-ci sont très différents. A priori, je sous-entends "qui nous ont marqué positivement" mais après tout, vous pouvez interpréter le titre comme bon vous semble.

Alerte Pavé : Ne vous sentez ni obligé de tout lire (l'intérêt est de pouvoir sélectionner ce qui vous intéresse) ni d'en écrire autant que je l'ai fait

Je commence, donc. Je ne vous ferai sûrement pas découvrir grand chose : contrairement aux films, les jeux qui m'ont le plus marqué sont extrêmement connus, je n'y peux rien, c'est comme ça. Mais la question, c'est surtout pourquoi je les ai retenus. Pour éviter de faire doublon, je n'ai choisi qu'un jeu par série.

Voici donc mon classement du numéro 10 au numéro 1 :

10. NBA 2K12 (PS3)


S'il y a bien un genre de jeu dont on ne parle quasiment jamais ici, ce sont les jeux de sport. Et j'ai conscience que ce n'est peut-être pas très "in" sur un forum consacré avant tout aux jeux d'aventures et souvent rétro, mais je m'en fout, c'est mon classement, pas le vôtre
Il y a une logique au fait qu'on en parle peu : on aborde essentiellement le jeu-vidéo sous l'angle de la création artistique, alors que là on est plutôt dans la simulation pure et dure. Quoi qu'il en soit, quand j'ai découvert les jeux de sport dans les années 90, il m'arrivait de rêver sans trop y croire à des jeux extrêmement réalistes, qu'on puisse presque confondre avec une retransmission télévisuelle. Déjà, je passais des heures sur NBA Live 97 qui était déjà pour moi, à l'époque, un bonheur à jouer. Pour l'aspect réaliste... j'utilisais abondamment mon imagination ! Il va sans dire que si j'avais vu le screen que je vous ai posté plus haut, l’œil non-habitué aux graphismes actuels, j'aurais cru à une photo d'un vrai match. Et si on m'avait dit que c'était un jeu, j'aurais eu du mal à le croire. J'entends d'ici vos remarques : les graphismes et le visuel ne suffisent pas à faire un bon jeu. Certes. Mais je pense justement que NBA 2k12 atteint un niveau inégalé dans une simulation de sport par le croisement d'un visuel soigné, avec un souci du détail permanent, et la qualité du gameplay, proposant à la fois challenge, plaisir et richesse de gameplay, et réalisme. Ajoutons à cela une immersion totale qui découle des points précédents. À l'image de ceci, un souci du détail que j'ai toujours recherché dans les simulations sportives : le jeu nous propose de rejouer des grands matchs de l'histoire de la NBA, des années 50 aux années 90. Classique. Mais là, toute l'ambiance a été respectée : du noir et blanc aux informations textuelles adaptées aux techniques télévisuelles de l'époque, en passant par les règles du jeu (l'absence de ligne à 3 points pour les vieux matchs, par exemple). On s'y croirait.
Mais je m'arrête là, je sens bien que décidément, les jeux de sport ce n'est pas votre truc


9. Hitman : Blood Money (PS2)


Être un tueur à gages, c'est mal. Incarner un tueur à gages dans un jeu vidéo, c'est fichtrement intéressant ! Surtout quand le jeu est soigné. Vous avez une ou plusieurs cibles, dans un lieu assez vaste, public ou très fréquenté, et toujours très sécurisé. Les cibles se trouvent soi dans des espaces truffés de monde, soit dans un endroit où vous n'avez pas accès. Vous ne devez pas vous faire repérer et dans la mesure du possible, commettre le crime parfait. Débrouillez-vous ! Voilà qui résume tout l'intérêt de ce jeu : s'approprier un décor vaste, observer, observer beaucoup, faire preuve de patience et d'imagination pour vous fondre dans la masse par tout les moyens, pour que personne ne remarque ce qui est pourtant sous ses yeux. Comment une expérience pareille aurait pu être rendue possible sans l'existence des jeux vidéos ? À moins d'être vraiment un tueur à gage, ce que je vous déconseille, c'eut été bien difficile. Un jeu qui arrive à faire ça, proposer une expérience fascinante qui n'aurait pas été possible autrement, est pour moi un jeu largement réussi. Petit bémol qui m'est très personnel, le fait que les créateurs aient cédé à la tentation de faire ce qui se fait habituellement, à savoir tomber dans des codes cinématographiques (c'est encore plus vrai dans Hitman : Absolution). J'aime beaucoup le cinéma interactif, mais Hitman est par excellence le jeu qui pourrait se passer de scénario, et donner l'occasion au jeu vidéo de se démarquer vraiment du cinéma. Le côté Hollywoodien de l'histoire assez surréaliste me laisse de marbre, et casse un peu la magie d'incarner ce personnage qui aurait mieux fait de rester une ombre, sans passé ni attaches. Dommage.


8. Metal Gear Solid (PC)



Bon alors là on s'attaque un peu au Citizen Kane du jeu vidéo (comparaison osée, j'en conviens), et comme j'ai déjà fait des gros paragraphes je vais économiser un peu mon clavier et vos petits yeux. J'ai hésité un peu avec le 3ème opus, qui propose un gameplay vraiment très riche, mais j'ai opté pour le premier, un peu par purisme... Bref, tout à été dit sur ce jeu, une grande maîtrise du gameplay, du scénario, de l'humour dont seul Kojima maîtrise le secret (on nous dit de trouver le codec de Meryl sur une certaine boîte de CD, qui n'est en fait autre que la boîte du jeu, ou Psycho Mantis, qui lit dans les pensées, et notamment dans la carte mémoire du joueur et cite les autres jeux Konami qui s'y trouvent, pour ceux qui jouent sur PS1). Même les trucs les plus grotesques sont si bien amenés et tellement assumés qu'ils passent bien (Metal Gear Rex est un objet particulièrement surréaliste !).


7. FIFA 2000 (PC)



Et on remet ça avec les jeux de sport ! Là encore, je ne vais pas en dire grand chose. C'est juste que FIFA 2000 est un des tout premiers bons jeux de sport que j'ai eu, et que j'y ai passé inlassablement des heures et des heures. Ce qui est bien avec ce genre de jeu, c'est qu'après les années il n'en reste qu'un charme désuet, mais c'est celui-ci qu'on apprécie d'autant plus quand on est nostalgique. N'empêche qu'à l'époque la marge de progression était grande, et les jeux de foot évoluaient vite et bien. Ce n'est pas comme maintenant...



6. Runaway : The Dream of the turtle (PC)



De la série Runaway, que j'ai appréciée dans son ensemble, ce deuxième opus est probablement celui qui m'a le plus séduit. Alors je reconnais, il faut adhérer au style. Le côté sea, sex and sun et l'impertinence de Brian peuvent en rebuter plus d'un. Mais c'est vraiment un point & clic comme je les aime : des décors et ambiances dépaysantes au possible, et des énigmes intéressantes, et agréable à résoudre. Ce que j'aime bien chez Pendulo Studios, c'est leur capacité à ne pas se prendre au sérieux et à nous rappeler sans cesse qu'on est dans un jeu vidéo, avec certains passages bien tordus et déjantés (téléportation, extraterrestes...) mais vraiment très drôle, dans un cadre pourtant plutôt réaliste à la base. Un héritage totalement assumé de Monkey Island, bien que porté dans un autre style. Un détail qui m'a particulièrement marqué, c'est le fait de ne pas perdre patience quand j'étais bloqué, tellement je prenais plaisir à évoluer dans les différents lieux et différentes ambiances. Et j'avoue d'ailleurs honteusement que c'est le premier point & click que j'ai fini sans aide ni soluce !


5. Heavy Rain (PS3)



Sur ce jeu aussi, beaucoup de choses ont été dites, en bien ou en mal. Ce qui me pose question, ce sont les gamers les plus aguerris (la team Nesblog, par exemple) qui on fuit ce jeu comme la peste, s'attachant à le démonter consciencieusement, comme si Heavy Rain menaçait le monde vidéoludique à lui tout seul. Certes David Cage est assez antipathique. Certes, ça peut énerver que Télérama se mette à s'intéresser au jeu vidéo parce qu'il commence à ressembler au cinéma. Certes, le jeu reprend certains codes émotionnels du cinéma de manière grossière, voire caricaturale. Passé tout ça, prenons le jeu en lui-même, pour ce qu'il est et non pour ce qu'il voudrait être ou pour ce qu'on voudrait qu'ils soit. Certains préfèrent parler de film interactif que de jeu vidéo. Comme vous voulez. Toujours est-il qu'il propose quelque chose que je n'avais jamais trouvé avant nulle part. Une identité forte et une ambiance jamais vue ailleurs, que j'ai ressenties bien avant de l'acheter. Je me suis d'ailleurs décidé à passer sur cette génération de consoles en partie pour ce jeu. C'est un sentiment assez indescriptible, mais assurément quelque chose de très fort. Une idée résume assez bien ce que j'ai trouvé de génial dans ce jeu : on contrôle 4 personnages, si l'un d'entre meurt, la suite du jeu se passe d'eux. Pas de game over, pas de retour en arrière, il fallait faire attention. En sachant ça, impossible de vivre une scène d'action comme dans tout autre jeu. Idem pour les choix, qui influencent le déroulement de l'histoire (même si j'aurais aimé que ce soit plus le cas). Une chose et sûre : Heavy Rain divise, mais il méritait d'exister.


4. Resident Evil (PC)



Alors là on entre dans le sentimental ! J'ai une petite dizaine d'années, un PC familial depuis pas si longtemps que ça, je n'ai jamais eu de console de jeu avant (eh oui, mes parents étaient contre les jeux-vidéos) et c'est un des premiers jeux que mon frère achète. Évidemment, il n'a pas le droit de me le montrer. Mais vous savez ce que c'est. "Allez, je te montre juste jusqu'au premier zombie". Par contre, il a quand même la présence d'esprit de zapper les cinématiques. Un mythe commence à se créer : qui y a-t-il dans ces fameuses cinématiques ? Finalement, j'y jouerai assez peu de temps après, sans auto-censure. Que de souvenirs dans ce manoir particulièrement infréquentable ! Parcourir la maison de long en large, en cherchant par tous les moyens à en sortir, en croisant à tous coins des zombies certes pas très vifs mais néanmoins dangereux, surtout quand les munitions manquaient... Là encore, Resident Evil propose vraiment une ambiance unique, et c'est ça qui fait qu'on n'oublie pas un jeu de sitôt !


3. Les Chevaliers de Baphomet 2 : Les boucliers de Quetzacoatl (PC)



Les premiers jeux d'un genre auxquels on joue sont souvent ceux qu'on retient. Pour les jeux d'aventure, ce sera les jeux Amiga pour certains ( ), pour d'autres les permiers Monkey Island, pour moi, qui ai débarqué après l'âge d'or, c'est Les Chevaliers de Baphomet. Comme pour Runaway j'ai retenu le deuxième opus, tout simplement parce que c'est celui auquel j'ai le plus joué et qui m'a le plus marqué, mais le premier était tout aussi excellent. Habitude de la série, on commence dans un Paris très fantasmé, le Paris vu de l'étranger, romantique, sur fond de Montmartre et d'accordéon, et ça, ça à beau être cliché, mais c'est sacrément cool. Puis comme d'habitude, on part un peu partout : Marseille, Londres, les Caraïbes. Encore une fois, des endroits très variés et des ambiance qu'on prend plaisir à découvrir, avec les personnages hauts en couleurs qui peuplent ces lieux. Petite anecdote : je suis resté bloqué 6 mois dans ce jeu. Bon évidemment, je n'ai pas cherché pendant 6 mois, j'avais lâché l'affaire, mais j'avais quand même cherché longtemps mon chemin dans cette jungle hostile. Et je n'en pouvais plus de cette jungle dans laquelle je tournais en rond encore et toujours. J'ai fini par être débloqué, grâce à un passage dissimulé que je n'ai pas trouvé tout seul. Ce n'est que des années après que j'ai appris que la manière "normale" de passer cet endroit, c'était d'utiliser un objet d'inventaire sur un sanglier qui n'apparait qu'une fois... Petit malin de Charles Cecil, après la chèvre, le sanglier ! Bref, en tout cas, 6 mois après cette jungle insupportable, je me retrouve avec Nico à Londres dans la fraîcheur nocturne apaisante. Le décor change enfin, moment magique ! Après ça, j'ai compris où résidait une partie du plaisir dans les point & clicks : on cherche en permanence à découvrir une nouvelle facette du jeu, et plus on galère, plus la récompense est grande. Et passer d'un univers à son exact contraire accentue cette idée de dépaysement, qui n'en est que plus appréciable !


2. Grand Theft Auto : San Andreas (PC/PS2)



Encore une fois, je ne vais pas faire dans l'originalité, mais tant pis. Je ne suis pas du genre à juger un produit culturel en fonction de son nombre de ventes, mais quand on atteint le succès de GTA, il semble quand même y avoir une bonne raison. En l'occurrence, je crois que Rockstar à compris avant beaucoup de monde le potentiel du jeu-vidéo. Comme je le disais pour Hitman, se plonger entièrement dans un univers, et pouvoir s'affranchir (le temps d'une partie seulement !) de toutes les contraintes de la réalité pour donner libre court à nos fantasmes les plus primaires, voilà ce que seul le jeu-vidéo peut faire. Et ça ne se résume pas à tuer tout le monde, loin de là : sauter d'un building en parachute ou du sommet d'une montagne en moto, parcourir tout l'état en Jet Pack, où encore abandonner son avion pour y préférer le contact à l'air libre, et le regarder s'écraser en bas (oui j'aime bien tout ce qui est aérien ), bref être complètement irresponsable impunément et sans aucune conséquence, quel pied ! GTA nous permet de faire ce qui avant n'était possible que dans un rêve lucide, mais contrôler ses rêves n'est pas donné à tout le monde. Bien-sûr, pour que tout cela fonctionne, il faut quand même qu'on croie à l'univers dans lequel on se trouve. Et c'est là où réside tout le talent et l'ambition des créateurs : ils créent un monde, de A à Z, avec sa propre géographie, ses propres stars, ses propres pubs, sa propre culture. Certes, tout ça est largement copié d'un milieu existant (en l'occurrence une partie de la Californie et ses alentours) mais avec une retouche parodique hallucinante de justesse et de cohérence. Et c'est pour ça que personne n'a jamais réussi à copier correctement un GTA, il ne suffit pas d'appliquer une recette et de faire sa sauce, puis d'encaisser le chèque à la fin ; il faut recréer un univers entier, et ça demande un travail vertigineux. On est bien au delà, selon moi, de l'image beauf que peut donner le jeu de lui-même pour quelqu'un qui ne le regarderait que de loin. GTA V est excellent aussi, mais j'ai choisi San Andreas pour sa richesse que j'ai plus eu l'occasion de mesurer, et parce que pour tout ceux qui comme moi l'ont vraiment apprécié, il est sentimentalement indétrônable.


1. Red Dead Redemption (PS3)



Je ne suis pas un fanatique de Rockstar comme on pourrait le penser à la vue de ces deux premières positions, mais il y a des jeux qui ne peuvent pas laisser indifférent. À vrai dire, si on me demandait quel est mon jeu vidéo préféré, je ne pourrais pas en citer qu'un, ils sont tous tellement incomparables. Mais le fait est que j'ai choisi Red Dead Redemption en première place, parce que ce jeu est une vraie claque. Il y a des jeux qui peuvent sauver une génération de consoles qui s'enlise dans une certaine pauvreté, et celui-ci en fait partie, indiscutablement. Enfin non, on peut tout discuter, mais quand même.

D'abord, visuellement on n'en prend plein les mirettes. Bon, faire un jeu techniquement impressionnant c'est une chose, certains d'ailleurs ne jurent que par ça. Mais vous pouvez avoir les meilleurs graphismes du monde, sans talent artistique derrière, ça ne vaudra selon moi pas grand chose. Ici, la moindre ballade à cheval sur fond de coucher de soleil est susceptible de devenir un spectacle assez unique. J'avoue qu'à bien des moments, je me suis contenté de contempler le décor autour de moi, la grandeur du désert, le sable et la poussière s'envoler... Pareil pour les intérieurs, les saloons plein de vie, peuplés de cow boys plus ou moins fréquentables vaquant à leurs occupations... Sincèrement, je n'ai jamais vu un jeu aussi beau visuellement. Et rien que pour ça, Red Dead Redemption vaut le coup. Encore que, c'est toujours la même chose, il faut que tout ça soit précisément contextualisé pour qu'on puisse y croire, et apprécier l'univers à sa juste valeur.

Et de ce côté là, encore une fois, il n'y a rien à redire : tout l'univers dans lequel on évolue est parfaitement cohérent. Un petit village Mexicain à une extrémité de la carte, la ville américaine où la modernité commence à s’implanter à l'autre bout. Rien ne semble rapprocher ces deux lieux, que ce soit culturellement, dans le contexte géopolitique où la vie quotidienne, et pourtant il font indiscutablement partie du même monde, un monde en plein mutation, où beaucoup de choses sont en train de se passer. Et mêmes les journaux sont là pour nous le rappeler : d'Armadillo, petit village du far west, on aura vent de l'actualité du nord du Mexique. Un périple à cheval, le temps de traverser la frontière, de camper la nuit au bord de la rivière, et on pourra constater de nos propre yeux la réalité de ce qu'on avait lu dans ce journal.

Avec Red Dead Redemption, on partage un morceau de la vie de John Marston (le personnage de jeu-vidéo le plus charismatique qu'il m'ait été donné à voir, et il n'est pas prêt d'être détrôné) comme si on n'y était. Les rapports entre les personnages se construisent progressivement, de manière soignée, jamais précipitée. Mais surtout, entre chaque "mission" la vie continue vraiment de suivre son court. On ne sait jamais ce qui nous attend durant la moindre ballade à cheval : un passant en détresse va peut-être nous demander de le ramener à la ville, ou bien des truands vont nous arrêter pour nous dévaliser, à moins qu'on se fasse attaquer par un Cougar, où même un Ours si on va se perdre en montagne. Je pourrais aussi évoquer le scénario fort bien écrit, toujours au service du jeu, où la bande son imbattable (cette bande-son, vraiment !) mais je ne peux pas parler de tout.

Alors c'est vrai certaines habitudes vidéoludiques restent solidement encrées : on passe une bonne partie de son temps dans des Gunfights, John Marston peut presque affronter une armée à lui tout seul (j'insiste sur le presque, parce que ceux qui combattent à vos côtés sont loin d'être de simple figurants comme dans de nombreux jeux) et la perfection aurait peut-être été de pousser le réalisme un peu plus loin, c'est-à-dire en calmant un peu le jeu sur la gachette. Mais après tout, on est dans un univers western, et faire son Lucky Luke en désarmant 3 adversaires en une fraction de seconde à quelque chose de particulièrement grisant. Une chose est sûr, Red Dead Redemption est clairement un jeu à part.



Il est temps que je me taise, je vous laisse la place

Ah...Pas mal ce petit Topic...même s'il est plutôt de compliqué de faire un classement sans oublier de jeu au passage.

Enfin bref, Je vais m'atteler à cette tâche mais j'ai pas l'intention de faire un "roman" comme valoulef.

Je commence donc par le jeu qui m'a vraiment marqué car c'est tout de suite celui qui viens à l'esprit.

1. Shin Megami Tensei : Persona 3 (PS2)



Alala, Je ne saurai vous dire tout ce qui me plait dans ce jeu. Les musiques qui vous laisse sans voix (jeux de mot) , les doublages anglais qui ont leur charme , la modélisation qui est franchement bien réalisé pour de la PS2 , les personnage qui ont tous la classe, son histoire , son gameplay qui jongle entre le dungeon RPG, le RPG tour par tour et un jeu de gestion de son temps libre, de son sommeil et de ses liens sociaux ; ses cinématiques style manga (bien que peu nombreux et sans sous-titres),etc.

Quel Bohneur de l'avoir eu pour pas cher et en neuf. (Le Hold-up du siècle en gros :$ )

2. La série Monster Hunter (PSP/Wii)



Pour être franc, je crois que c'est la version Wii qui m'a le plus marqué (car les contrôle sont largement mieux adapté) et qui m'a également le plus déçu (car vu que Monster Hunter sortait sur Wii U , ben les créateurs ont décidé de fermer tout les serveurs sans exceptions donc adieu les armures de rang supérieur et les monstres que l'ont pouvais ne trouver qu'en multi...et au fameux tonneau dans la guilde qui permettait de faire des bras de fer.)

3. Guilty Gear XX (PS2)



Il s'agit de mon jeu de combat 2D préféré. Ce qui me plait franchement dans ce jeu c'est son ambiance Rock'N'Roll et ses combats épiques qui demande tout de même un peu de technique (pas comme Tekken vous me direz).

Cependant pour bien l'apprécier, il faut jouer à plusieurs et si possible avec des personnes savant y jouer (Heureusement que j'ai mon petit frère pour faire des combats épique :p)

4. La série Dissidia (PSP)



Comment? Un jeu de combat 3D avec les personnage de Final Fantasy avec des pointes de RPG. Mais Que demander de plus. :)

Je me demande même pourquoi une adaptation n'a pas été encore réalisé sur console HD... Ca aurai sans doute un franc succes auprès des fan du genre (même auprès des joueur de Dissidia)

5. Klonoa (PSOne)



Un jeu avec un personnage trop mignon...moi j'achète. (Même si je n'ai joué qu'à la démo de ce jeu et que maintenant il est pratiquement introuvable)

6. Cave Story (PC)



Pareil que Klonoa même si pour celui là une version complète et gratuite est dispo sur le site officiel.

7. Soul Calibur (PS2!)



Il s'agit de mon jeu de combat 3D préféré surtout en ce qui concerne les épisode sur PS2 car les épisode sur PS3 ont perdu un peu de leur superbe à cause du manque de contenu par rapport aux anciens épisodes.

8. La série Metal Gear (PSOne/PS2/PS3)



Rien à Dire. Une série culte avec son gameplay propre, ses easter eggs et ... ses ninjas (surtout Raiden -> Beau Gosse)

9. Minecraft (PC)



Moi, les jeux où l'on peut casser un arbre a main nue et où l'on peut creuser comme un demeuré jusqu'à en devenir dingue...moi je dis j'aime.

10. Parapa The Rapper (PSOne/PS2)



Un jeu de rythme avec des style de Paper Mario et que même si tu suis pas la partition tu peut marquer des points. Un jeu qui a marqué mon enfance (comme Klonoa d'ailleurs)

Et c'est que mon Top 10 des jeux qui m'ont le plus marqué s'achève.
Bonne Lecture. ;) Comment?? C'est trop tard pour le dire? Oh Zut! >_<

Belle idée Val !
Pas mal de choix me parlent d'ailleurs.

valoulef a écrit:

J'ai mis délibérément "les jeux qui nous ont le plus marqué" plutôt que "nos jeux préférés"

Tu as parfaitement raison de faire la distinction.
En effet, par exemple, pour moi, DUNE II est un jeu cultissime et fondateur, pourtant, aujourd'hui, il est totalement dépassé et plus vraiment jouable, donc plus dans mes jeux préférés.
Par contre, Hired Guns est toujours fun et les sensations toujours intactes !

Je donnerai mon top 10 plus tard, sinon je vais épuiser mes énigmes pour le "The VideoGame Quiz"
Il y a déjà Hired Guns, Starcraft et je me tâte à y inclure Syndicate

@ Valoulef : Un bon jeu de sport c’est toujours sympa. J’ai passé de bonnes soirées entre potes sur NHL.

@ Ygdra : Concernant Cave Story , ça me bluffe qu’une seule personne puisse assurer sur autant d’aspects du jeu : gameplay, graphismes, animation, musique...

Pour moi ce sera juste un top 5. J’ai écarté les « Chevaliers de Baphomet 1 » pour éviter les doublons :

5 – MAX PAYNE 1 & 2 (PC)

Des pionniers du Bullet Time. Les 2 jeux étaient des claques graphiques à leur sortie. Leurs histoires sont envoûtantes et noires à souhait. Pour ne rien gâcher, Max se dirige admirablement.
D’une manière générale, j’aime bien les cutscenes type BD quand elles sont bien faites (ex : MDK 2, Gravity Daze...)

4 - CHIP ‘N DALE : RESCUE RANGERS (NES)

Rien de coquin là-dedans, il s’agit du TIC & TAC de Disney sorti en 1990. C’était super de pouvoir jouer à 2 simultanément à l’époque. Le jeu est court et pas très dur, mais regorge de bonnes idées : on peut grimper sur l’autre, se jeter des caisses, se jeter tout court… J’aurais pu parler de World of Illusion ou Rayman Origins, mais TIC & TAC est le premier jeu de plate-formes multi auquel j’ai joué.

3 – SANITARIUM (PC)

L’histoire est un peu glauque et les contrôles ne sont pas intuitifs, mais j’ai rarement ressenti quelque chose d’aussi fort en jouant à un jeu. Un vrai voyage intérieur.

2 – BALDUR’S GATE 1 & 2 (PC)

L’un de mes rares RPG. Pas de tour par tour, mais une pause qui permet de donner des ordres à ses 6 persos pendant le combat. Des graphismes qui restent très agréables et un monde qui fourmille d’intrigues complexes (à la différence d’un Diablo). C’est l’ancêtre de Dragon Age. Combien d’heures passées à arpenter la Côte des Epées…

1 – MONKEY ISLAND 3 (PC)

Les puristes préfèrent peut-être les 2 premiers, mais celui-là possède quand même des atouts : une interface pratique, des graphismes plus attrayants et un casting de rêve (Paolo Domingo, voix d’Aladdin, Emmenuel Curtil, voix de George Stobbart…). Les énigmes sont toujours aussi tordues, un vrai régal. Mon seul bémol : un peu court.

Après j'admets que j'ai moins joué dans cette décennie que dans celle d'avant

Creamy a écrit:

@ Valoulef : Un bon jeu de sport c’est toujours sympa. J’ai passé de bonnes soirées entre potes sur NHL.

Bien-sûr, je plaisantais un peu parce que ce n'est pas le genre le plus évident ici, et pour les éventuels "anti-jeu-de-sport" qui traîneraient dans les parages.

Creamy a écrit:

J’ai écarté les « Chevaliers de Baphomet 1 » pour éviter les doublons

On peut être plusieurs à citer le même jeu, au contraire ça permettra de mettre en avant les jeux qui reviennent le plus souvent. D'autant que j'avais choisi de citer le 2

Creamy a écrit:

Les puristes préfèrent peut-être les 2 premiers, mais celui-là possède quand même des atouts : une interface pratique, des graphismes plus attrayants et un casting de rêve (Paolo Domingo, voix d’Aladdin, Emmenuel Crutil, voix de George Stobbart…). Les énigmes sont toujours aussi tordues, un vrai régal. Mon seul bémol : un peu court.

Je ne sais pas si les puristes préfèrent les deux premiers, mais j'ai l'impression d'avoir souvent entendu beaucoup de bien du troisième en particulier. Je suis pressé de finir le 2 pour pouvoir jouer au 3, parce que je sens que je vais vraiment l'apprécier. Et je ne savais pas pour les voix françaises, mais alors là tu as encore augmenté mon intérêt

Ah...Sanitarium...Que de souvenir...

Je n'ai pu jouer qu'à la démo quand j'était plus jeune et je me souviens parfaitement du mec le cul à l'air près d'un précipice et qui tombe comme une grosse m**** lorsque l'on s'approchait trop près de lui. Où bien dans le même niveau, il y avais également le mec qui se fracassait le crâne contre un mur...en boucle.

Ah...Souvenir, souvenir.

J'aime ce sujet. Je vais me lancer avec 5 jeux que j'aime bien qui me sont venus à l'esprit :

5. N
Jeu flash fin des années 2000 début des années 2010 (j'ai oublié l'année précise). J'ai passé un petit bout de temps à finir tous les niveaux, surtout un ou deux bien corsés. Il a ensuite été adapté sur Nintendo DS.

4. Final Fantasy 7
... Est-ce qu'il faut vraiment que je le présente ?
Le premier RPG auquel j'ai joué en comprenant à peu près ce que je faisais (je pense que mon tout premier a dû être Illusion of Time, mais il était en anglais et à l'époque je ne parlais pas bien la langue ).

3. Chrono Trigger
Encore un RPG de Square. Bien que sorti deux ans plus tôt que FF7, j'y ai pourtant joué plus tard, sur émulateur.
J'aime particulièrement les différentes ambiances du jeu, les voyages dans le temps, les fins multiples, et comme beaucoup de gamins j'étais fan de Dragon Ball, alors quand c'est Toriyama au design...

2. Tombi
Pas très diffusé en France (renseignez-vous sur le prix du jeu sur CD...), j'ai un temps joué à la démo puis un ami a fini par me convaincre de jouer au jeu complet (sur émulateur, encore une fois !).
Une sorte de plateforme-RPG, très très bon.

1. Super Mario World
Mon premier vrai jeu à moi, et toujours mon jeu préféré je pense.
On peut classer les amateurs de Mario en deux catégories : les adeptes de la "physique" à l'ancienne et ceux de la "physique" où Mario dérape légèrement. Je fais partie de la deuxième catégorie, n'en déplaise aux puristes.
Il y a vraiment peu de jeux Mario que je n'apprécie pas, et ce doit être ceux qui me viennent en premier à l'esprit lorsqu'on me dit "jeu vidéo". Sûrement un phénomène d'empreinte
J'ai mis une capture d'écran avec le Yoshi bleu parce que ça me donnait un sentiment de liberté de pouvoir facilement me déplacer verticalement, en plus de la cape.

J'apprécie la proposition de parler des jeux les plus marquants et non les jeux préférés ou les "meilleurs" jeux. Mais je reste incapable de faire un classement. Je vais donc essayer d'aller chronologiquement.

FORT APOCALYPSE (C64, 1982)
Sans doute mon premier jeu vidéo. En tout cas celui auquel j'ai le plus accroché car le plus accessible et attractif pour l'enfant que j'étais. Un jeu pourtant pas facile et dans lequel on progressait sans aucune indication. Un vrai challenge qui permettait de défier les copains. Je rêve de pouvoir y rejouer.

IMPOSSIBLE MISSION (C64, 1984)
Jeu d'aventure-réflexion en plate-formes. Je ne me souviens pas l'avoir fini à l'époque. Il portait bien son nom, le salop. J'aimerais bien avoir un jour la possibilité de le finir.

MYST (PC, 1994)
La première claque. C'est donc possible d'explorer un monde aussi riche et cohérent dans un jeu vidéo et de progresser en résolvant d'astucieuses énigmes.
J'y associe toute la série, y compris les Uru, et d'autres jeux d'aventure de l'époque comme L'Amerzone, Atlantis, Syberia, Schizm, Rhem, etc... Des jeux que j'avais joué de multiples fois à l'époque que je rejouerais encore volontiers aujourd'hui. Ce sont clairement ces jeux-là qui m'inspirent pour créer le mien aujourd'hui.

PHANTASMAGORIA (PC, 1995)
GABRIEL KNIGHT 2 (PC, 1995)
BYZANTINE (PC, 1997)
Trois jeux d'aventure en Full Motion Video. Les deux derniers se déroulent même dans des univers réels (la Bavière et Istanbul) et le scénario et les énigmes se basent sur des faits historiques.

TOMB RAIDER (PC, 1996)
Le jeu d'action ancêtre de tous les autres qui ont suivi ensuite. Une vraie révolution même si ça semble bien obsolète aujourd'hui avec tous ces gros pixels.

SIM CITY 2000 (PC, 1995)
Depuis tout gamin je dessinais des villes que je modifiais ensuite au gré de mon imagination. Et là, un jeu vidéo me permet enfin de voir mes villes vivre et évoluer toute seule. Whaou! J'y ai joué pendant des années, puis ensuite à Sim City 4.

FOOTBALL MANAGER 98 (PC, 1997)
La réalisation de mon deuxième fantasme de gestion : gérer un club de foot. Le jeu n'était pas très réaliste par rapport aux standards actuels mais il était très plaisant. J'y ai joué très très longtemps et c'est sans aucun doute le jeu que je maîtrise le mieux. J'ai arrêté d'y jouer finalement faute de challenge à la hauteur.

SANITARIUM (PC, 1998)
Un jeu qui avait créé un peu la polémique, comme Phantasmagoria quelques années plus tôt, ce qui l'avait évidemment rendu très attractif. Un scénario marquant par les thèmes traités. Encore une incontestable source d'inspiration pour mon projet de jeu.

DELTA FORCE 2 (PC, 2000)
Sans doute un de mes premiers FPS sur une map en 3D mais qui m'a surtout marqué pour son éditeur de niveaux.

DEUS EX (PC, 2000)
Sans doute aujourd'hui encore mon jeu préféré. Ce jeu a tout. Lui aussi naturellement une source d'inspiration pour mon projet de jeu.

A partir de là, je considère qu'on entre dans une autre ère du jeu vidéo. Comme c'est la liste des jeux marquants et non des jeux préférés, je peux dire que beaucoup de jeu sont très plaisants à jouer mais peu m'ont réellement marqué de par leur manque d'innovation. Je parviens à en dégager toutefois 5. Peut-être j'en oublie.

MAX PAYNE (PC, 2001)
Très original visuellement et une ambiance qui m'a embarqué. Je l'ai joué presque d'une traite, je crois.

MEDAL OF HONOUR (PC, 2002)
Début des FPS très scriptés et très spectaculaires. J'y associe naturellement toute la série des Call of Duty. C'est très sympas de temps en temps.

SPLINTER CELL (PC, 2003)
L'exact inverse du précédent. Adoré le challenge de l'infiltration.

FREELANCER (PC, 2003)
L'aventure à travers l'espace, des maps immenses à explorer, la liberté de suivre ou non le scénario de l'histoire principale. Beaucoup beaucoup d'heures passées à explorer en détails toutes les maps.

GTA : San Andreas (PC, 2005)
La série à son summum à mon avis avec Vice City. Ma dernière grosse claque dans le jeu vidéo.



Voilà.

Je me souviens avoir acheté Deus Ex, joué 5 minutes et laissé tombé tellement je n'avais pas accroché.

Mais avant de me conspuer pour ce que je viens de dire :

Rivella a écrit:

FORT APOCALYPSE (C64, 1982)
[...] Je rêve de pouvoir y rejouer.

Rivella a écrit:

IMPOSSIBLE MISSION (C64, 1984)
[...] J'aimerais bien avoir un jour la possibilité de le finir.

Émulateurs Commodore 64
Roms Fort Apocalypse
Roms Impossible Mission

Et voilà 1 vœu et demi exaucés (oui parce que la deuxième moitié du deuxième vœu dépend de toi)  
Bon je sais, c'est peut-être pas tout à fait le même charme, mais c'est déjà ça.

Il te reste donc 1 autre vœu et demi

Soit d'y en passant, en cherchant j'ai été assez impressionné du nombre de jeux C64 (même s'il n'y avait pas besoin de licence à l'époque). D'ailleurs en parlant de Football Manager, savais tu qu'il existait déjà un Football Manager sur cette plateforme ? Parce que moi, non.

valoulef a écrit:

Je me souviens avoir acheté Deus Ex, joué 5 minutes et laissé tombé tellement je n'avais pas accroché.

Mais avant de me conspuer pour ce que je viens de dire :

Rivella a écrit:

FORT APOCALYPSE (C64, 1982)
[...] Je rêve de pouvoir y rejouer.

Rivella a écrit:

IMPOSSIBLE MISSION (C64, 1984)
[...] J'aimerais bien avoir un jour la possibilité de le finir.

Émulateurs Commodore 64
Roms Fort Apocalypse
Roms Impossible Mission

Et voilà 1 vœu et demi exaucés (oui parce que la deuxième moitié du deuxième vœu dépend de toi)  
Bon je sais, c'est peut-être pas tout à fait le même charme, mais c'est déjà ça.

Il te reste donc 1 autre vœu et demi

Soit d'y en passant, en cherchant j'ai été assez impressionné du nombre de jeux C64 (même s'il n'y avait pas besoin de licence à l'époque). D'ailleurs en parlant de Football Manager, savais tu qu'il existait déjà un Football Manager sur cette plateforme ? Parce que moi, non.

Pour Deus Ex, je comprends. Le tout début du jeu n'est pas la meilleure partie et certainement pas la plus représentative. Ca peut même être carrément rebutant mais il faut s'accrocher et après on ne s'en détache plus.


Cool pour les liens. J'avais jamais vraiment cherché. Je vais regarder tout ça. Merci.

Tiens, moi Deux Ex, j'ai bien aimé que la première mission.

Val, comment on fait pour obtenir trois voeux ?!

Deus Ex est vraiment un grand jeu, fondateur, riche et qui permet une très grande liberté.
Tu peux la jouer bourrin, hacker, infiltration, ou un mix de tout ça.
Tu peux parler, aider, tuer des personnages qui vivent leur vie et qui peuvent te donner des infos exploitables.
Bref, l'un des rares jeux pc auquel j'aurai envie de rejouer aujourd'hui (chose que je compte bien faire depuis déjà quelques années mais bon...).
Encore un jeu que je prévois de mettre dans mon top 10

Atavismus a écrit:

Val, comment on fait pour obtenir trois voeux ?!

Avoir des vœux que je peux réaliser facilement, je suis un génie avec des pouvoirs magiques un peu limités (d'ailleurs peut-être que Rivella connaît déjà tout ça, mais qu'il préfère retrouver les sensations réelles de la commodore que je ne connais pas mais qui sont certainement très particulières). Edit : bon en fait je n'avais vu que le message d'Atavismus et n'avais pas pensé à regarder plus haut...

Atavismus a écrit:

Deus Ex est vraiment un grand jeu, fondateur, riche et qui permet une très grande liberté.

Nan mais je n'avais vraiment pas cherché très loin, peut-être que je devrais réessayer, après je ne suis pas sûr que ce soit le genre d'univers qui me parle.

valoulef a écrit:

Émulateurs Commodore 64

  
Juste incapable de réussir à utiliser cet émulateur. Je m'en sors pas.
Ca situe le niveau du gars et ça aide à comprendre pourquoi il appréhende de devoir coder pour faire un jeu, hein?   

Non je m'y attendais plus ou moins parce qu'il y a de quoi se perdre dans ces choses là des fois. Le problème c'est que je ne les connais pas moi même. Par contre tu dis "cet émulateur" mais il y en a toute une liste. Je te conseille d'en prendre un bien noté, et pas MS-Dos, pour être simple d'utilisation.

Il y a par exemple celui-là qui est décrit comme "un simple émulateur pour windows" mais qui par contre et noté 4/10 donc potentiellement pas génial. Il faut en tester plusieurs, tout dépend de ta motivation à retrouver les traces de ton enfance

Sinon celui-ci par exemple est beaucoup mieux noté (9/10).

D'après mes maigres recherches, aucun émulateur ne fait autorité, il te faudra donc tester (je suis un génie très très limité)...



En ce qui concerne l'appréhension vis-à-vis du code, j'y reviens demain
Edit : en fait je n'ai pas attendu demain, j'ai déjà posté sur l'autre topic

j'en ai essayé plusieurs, notamment les deux que tu mentionnes. pour la petite histoire, dans le readme du premier, c'est expliqué qu'il s'appelle "jokemulator" car il n'est pas réellement un émulateur mais une blague.

je télécharge mais je n'arrive pas à extraire ensuite.

Comment ça à extraire ? Tu as Win Rar ?

j'ai 7zip et je n'arrive pas à décompresser les fichiers téléchargés de l'émulateur. ni à en faire quoi que ce soit d'autre.

J'ai testé et je n'ai aucun problème avec Vice (le deuxième lien que je t'aies donné). J'ai pu extraire sans souci avec winrar et j'ai réussi à lancer le jeu (en lançant x64.exe). Bon après je n'arrive vraiment pas à jouer, mais je ne connais ni le jeu, ni la commodore 64, ni l'émulateur, alors évidemment ça limite

alors avec winrar, c'est bon.

par contre, en effet, j'ai pas réussi à jouer. j'ai juste pu interagir avec le menu de Fort Apocalyspe.

Mais merci beaucoup, c'est déjà un bonheur de retrouver ces sons et ces images d'un autre temps!

Bon courage pour arriver à tout faire fonctionner

valoulef a écrit:

Bon courage pour arriver à tout faire fonctionner

bin c'est bon, ça marche nickel pour les deux jeux.

MERCIIIIIIIIIIII!  

As-tu essayé les portages en flash ?
Souvent bien plus simple pour jouer (mais pas sous Chrome ou IE9).

Moi j'ai passé un temps fou dans les salles de jeux la dessus
(Grace a Mame 32 je l'ais retrouvé sur mon Pc)

Kid no More