MAGS novembre, décembre et nouveau curateur

Proposition n°1 (comédie/foire aux horreurs) : créer une série de monstres pour un cirque ou pour Zeus à partir d’animaux existants. Seuls les “vrais” animaux imaginaires sont comptabilisés en fin de partie (exemples : satyre, licorne…).

inspiré d’une histoire de Donald Duck.

proposition n°2 (enquête / horreur) : un meurtre a été commis dans une rue de Londres au XIXe siècle. Policier alerté par un passant, le joueur suit une trace de sang qui l’amène jusqu’à un pub voisin. Le pub possède un couloir d’entrée avec un accès à la cave (verrouillée) et un accès à la grande salle. Le pub ne possède pas d’autre entrée donc le meurtrier est forcément à l’intérieur. Personne n’a rien vu. Il y a là le docteur Jekyll, sur lequel vont naturellement se porter les premiers soupçons, et quelques clients servis par la tenancière. On peut interroger les gens les uns sur les autres. L’interrogatoire n’est pas concluant car tous les clients sont de passage (ils ne se connaissent pas) et ils ne désignent pas les mêmes personnes lorsqu’on leur demande qui est entré en dernier. Lorsqu’on lui demande un café, la tenancière répond que la machine est cassée. Lorsqu’elle a le dos tourné, le joueur doit faire fonctionner la machine à café d’époque (énigme) pour se rendre compte qu’elle fonctionne parfaitement. Le joueur doit servir une tasse de café à la tenancière pour la convaincre du bon état de la machine. Interrogée sur le sujet, la tenancière admet n’être que simple serveuse. Seul son patron sait préparer le café et il ne désire pas être dérangé. Le joueur insiste pour le voir. La serveuse l’emmène à la cave. Le policier y découvre le cadavre du barman. Tandis qu’il se penche sur le corps, la serveuse prend une apparence monstrueuse dans son dos. Elle brandit un couteau avec un rictus mauvais. Si le joueur a pris soin de récupérer l’une des fameuses potions du Dr Jekyll dans sa veste et d’en verser le contenu dans le café qu’il a donné à la serveuse, celle-ci va vaciller et tomber dans les bras du policier au dernier moment. Elle retrouvera son apparence normale et lui avouera son crime. Sinon…

>> pas de “monstre” littéral dans cette histoire, juste le Dr Jekyll et la serveuse.